D.H.be - La compagne du champion

 3 mars 2011
 LYDIA
 Divers

Xisca, la femme la plus enviée des Espagnoles

(03/03/2011)

Celle qui partage la vie de Rafael Nadal depuis cinq ans ne se montre pas souvent sur le circuit

CHARLEROI Ne la cherchez pas dans les travées du Spiroudome , vous ne la verrez pas ! Car Xisca n’accompagne pas souvent son célèbre compagnon à travers le mon- de. Elle, c’est Maria Francisca Perello Pascual. Sa particularité ? Être aujourd’hui l’une des femmes les plus enviées de la gent féminine espagnole.

C’est elle qui partage le quotidien du numéro un mondial.

La jeune femme de 22 ans adore rester dans l’ombre, loin des projecteurs. Elle n’accorde d’ailleurs jamais d’interview, ne voyant pas l’intérêt de s’afficher dans les médias. Car Xisca est avant tout une personne tout à fait normale qui apporte beaucoup de sérénité à son champion de partenaire. “Elle a toujours été très importante pour moi” , a récemment accepté de confier Rafa à un magazine people espagnol. “Elle m’a toujours beaucoup aidé. Sans elle et ma famille, ç’aurait été impossible d’arriver où je suis aujourd’hui.”

Il n’en dira pas plus sur sa chère et tendre. Fille unique d’un entrepreneur et d’une employée communale de Palma de Majorque, Xisca connaît Nadal depuis presque dix ans. Grande amie de Maria Isabel, la sœur du tennisman, elle mène une vie normale dans le plus grand anonymat.

Présente à l’US Open l’an dernier, elle a suscité la curiosité des Américains. Mais le couple ne fait pas l’objet de l’acharnement des paparazzi comme c’est le cas de beaucoup d’autres vedettes. Toni Nadal, entraîneur et oncle de Rafa , a une explication toute simple : “Les choses qu’ils font ensemble sont tout à fait normales et elles n’ont, par conséquent, pas beaucoup d’intérêt pour les journalistes.”

Alors que Nadal est la curiosité numéro 1 de tout Charleroi, Xisca, forte de son graduat en gestion des entreprises, travaille, elle, dans le département des relations externes d’un fournisseur d’électricité à Majorque. En toute discrétion, bien sûr.

David Lehaire